Une douce lumière filtre par les persiennes ajourées et la lueur tamisée qu’il s’en dégage éclaire le jardin de ses secrets ambrés. Son cœur en latence puise alors dans les insondables courbes du destin et elle se souvient…. …Elle se souvient de leur...
...et telle une tendre caresse faisant écho à L'aimante esseulée, la plume de notre ami Candide, semble vouloir en adoucir les pleurs ! Ô, pluie aux longs cheveux d’automne Ne pleure pas les jours passés, Ni les printemps recommencés, Ni les hivers où...
Vous venez de franchir le seuil de mon petit boudoir Au hasard des pages vous voyagerez au rythme des envolées dont je suis l'auteur et que seuls des sentiments sincères ont inspirées. Vous trouverez mes derniers écrits, en haut, à gauche de cette même...
J'ai lu tant de souffrance aux cils de ton regard Dont les cernes en pleurs ternissent le visage, Que ma plume en émoi répand son triste adage Sur le monde en péril, lové dans le brouillard. Visant l’ambition aux profils alléchants, Ton esprit maladif...
LEGENDE HINDOUE Une veille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux ; mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit...
MON AMOUR Depuis que je t’ai dit je « t’aime » Je n’ai pas vu le temps passer, Tant il doux de s’embrasser Sous le soleil ce matin même. Transportés d’un bonheur suprême Qu’il était bon de s’enlacer, Depuis que je t’ai dit je « t’aime » Je n’ai pas vu...
Dans le matin fécond empreint de solitude La fraîcheur de la rose anoblit les vergers Et, tel un doux nectar aux arômes légers, Elle offre à nos élans un vent de plénitude. Son cœur s’ouvre à l’amour, embellit la romance D’une lèvre apaisante aux contours...
Parmi les reflets d’or des bûches en éveil Les flammes sur le bois s’habillent d’apparence, Un doux crépitement aux éclats de vermeil Caresse d’un baiser les lèvres du silence. Semblables au destin des êtres amoureux Les volutes en feu, sous leur regard...
Pourquoi chercher ailleurs notre ange et sa lumière Quand la nuit nous étreint de son nimbe sacré ? Il règne à nos côtés une douceur plénière Où les champs de l'éther épousent le nacré... Lors un souffle d'amour traverse nos poitrines Sur des flots de...
Elle sourd dans les cœurs et se glisse sans bruit… Le glaive sans retard, subtilement s’enfonce, Entre l’or et le sang, l’avenir ne renonce Ancrant le fil ténu d’un rêve qui s’enfuit. Les mornes liaisons enfantent la douleur, L’amertume glacée au sein...
Je voudrais m'arrêter, je voudrais me reposer, La destinée décidément ne veut me l'accorder. Je voudrais m'évader, je voudrais rêver, Sur une épaule qui pourrait me réconforter. La rébellion en mon cœur se fait ressentir, Car au moment où il se décide...
...ET DIEU CREA LA FEMME ! (1er diaporama) Double-cliquer sur l'image ci-dessus pour visualiser le PPS (Veuillez patienter quelques instants pour son ouverture) Un coup de vent passa, souffle leste et charmant Qui fit tourbillonner les jupes follement....
Je contemple la mer, soudain je t’aperçois Anéantir mes pleurs que la douleur essaime, Je vogue dans le noir, bien trop seule parfois, Entre ses mots ténus, mes rimes, tes “je t’aime”. Je dessine une étoile au creux du firmament Cette nacre d’azur, royaume...
....A mon amour de papillon La brume étend sur nous un voile de tristesse. Notre cœur s’assombrit enlisant nos efforts, De grands nuages noirs détrônent la promesse Aux sentiments ténus que nous voulions si forts. Les heureux lendemains sombrent par maladresse...
Nos vingt ans peuvent-ils disparaître aussi vite, Alors que notre amour sans cesse, nous poursuit ? Qui vient nous raconter, de façon explicite, Que de chacun, parfois, la vieillesse est le fruit ? Nul besoin de discours pour de telles sornettes ! Le...
L’hiver vient de vêtir son long manteau blanc et de frissons en nez couverts, les passants traversent à la hâte le jardin qui, hier encore, s’abreuvait de leurs douces rêveries. Chacun allonge le pas, se dirigeant expressément vers ses besognes. Pour...
Les enfants sont notre lumière ! LORSQUE L'ENFANT PARAÎT ! Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille Fait briller tous les yeux, Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident...
Mon regard s’est posé sur la rive profonde Unissant la douceur aux arpèges du lac En un tendre concert sous la voûte du monde Dans les reflets nacrés des portes de l’ubac. Quand soudain apparaît la nymphe de ces lieux ; Sa robe de cristal adoucit l’ambre...
La brume étend sur nous un voile de tristesse. Notre cœur s’assombrit enlisant nos efforts, De grands nuages noirs détrônent la promesse Aux sentiments ténus que nous voulions si forts. Les heureux lendemains sombrent par maladresse Mais la vague les...
Ce soir j’ai un peu froid ! Je tremble et la sueur inonde mes tempes. La nuit m’ouvre ses portes et nous sommes enfin réunis dans l’ombre. Il pleut sur mes joues, pleure dans mon cœur, engloutissant ta chair dans la faible clarté de l’antre. Tu es ma...
Le jeudi de la sixième semaine après Pâques (quarante jours après le dimanche de Pâques), l'Église célèbre la fête de l'Ascension (du latin Ascencio qui veut dire "monter"). Que s'est-il passé ? Après sa résurrection, quarante jours se déroulèrent pendant...
Le manteau de l’hiver brode ses nobles franges Et garnit de satin la lisière des toits. De longs rubans de laine ornent le front des granges Où des larmes de gel scintillent par endroits. Les véloces frimas entonnent la complainte Dans les champs attristés...
Balcon du souvenir ensemencé de pleurs Dont le ciel attristé voile nos yeux de brume Quand les êtres en deuil respectent la coutume De visiter leurs morts et vénérer l’Ailleurs… Aux chrysanthèmes d’or s’immiscent les douleurs En rubans de satin alourdis...
Quand mes pensées s’égarent sur les sentes des souvenirs, c’est toujours ton regard qui préside en ces lieux ! Quelques maux m’affligent, quelques larmes perlent sur mon visage et jaillit alors le désarroi. Pour quelles raisons, me direz-vous ? Je l’ignore...
....A Mon Ange ! Je longeais le canal sous le plus haut portique Effeuillant les soucis aux abords du chemin ; Le soleil déclinait vers le monde magique Où s’exilent parfois les ourlets du destin. Quand soudain j’entrevis sur la berge lointaine La muse...