10 février 2015
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Je me suis promenée sur les lointains rivages,
En courses effrénées sur les côteaux et vallées
Sans ne jamais croiser ton regard.
J'ai cherché, éperdue, un signe de toi
Dans le souffle du vent,
La caresse du temps,
Lorsque j'aperçus aux confins de ma route
Regardant le ciel en ultime retour,
Une étoile dont l'aura immortelle
Frôlait le firmament.
Alors un doux émoi me rappela
Combien tu étais belle, généreuse
Et surtout combien cette étoile
Ne pouvait n'être que toi...