...Quand mes pensées se posent sur la souffrance du monde, sur tous ceux qui meurent de faim et de froid, ceux qui se battent pour survivre dans la maladie, tous nos démunis et, en ce moment même, sur la catastrophe qu’endure Haïti, je ne puis m’empêcher d’élever un cri à l’encontre d’untel qui, dans sa maison et jardin dorés, un verre de porto à la main, rend parallèlement, quelques jours après ce drame mondial, un hommage aux oiseaux, clamant haut et fort : "J’endure tout de ce bas monde" mais pas d’un monde sans oiseaux. Lui faisant poliment remontrance des conséquences d'un excès dans ses mots et du poids de ses paroles en regard d'une situation non favorable à ce genre de propos, ma supplique a tout simplement été.... supprimée. Je ne puis lui répondre que ceci :
Ni le chant des oiseaux
Ni le printemps en fleurs
N'apaiseront les eaux
Des souffrances, des pleurs.
A panse bien nourrie,
Faciles sont les maux
Quand ne manque à leur vie
Que le chant des moineaux.
J.Peytavi
Mais l’heure n’est pas à lancer de polémique et préférons à ce vilain écho, la sublime chanson d’un grand poète qui exprime mieux que quiconque la solidarité humaine avec son coeur, sa voix, sa plume et ses mots.
Les entiers bénéfices de cet hommage en chanson seront reversés au peuple d'Haïti.
Titre de la chanson : Quand soudain !
Un grand merci à cet auteur compositeur interprète, journaliste de télévision
que j'ai eu le plaisir de contacter.
Dans un échange, il m'écrivait ceci :
"MERCI"
Bien à vous,
Théo Phan.